La trace des vieux dragons

Voix

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Pour faire patienter le recopiage de mes commande voici le debut du premier chapitre d'un projet d'histoire que j'ecrie.

Je l'est nomé L'exil des anges/

Jour 1: Sorea (partie 1)

La colère Terenil n'avait jamais été aussi violente, Un vent épouvantable c'est lever sous ses paroles, il était tellement fort que j'ai craint pendant un instant qu'il nous arrache les ailes ou nous propulse contre les murs du dôme sacré à une vitesse tel que tout nos os auraient été brisés. Le vent à transformer une bonne partie du sol en poussière, nous cachant la vue sur l'immense brèche qui s'ouvrait sous nos pieds. Je ne sait pas combien de temps se sont écoulés avant notre réveil ici. On dirait l'immense jardin du dôme de verdure. Il y fait chaud et humide et les arbres sont tellement haut et rapprocher que je vois à peine le ciel. Il semblait qu'il y avait des hordes entières de créatures inconnues aux cries étranges tout autour de nous, sans que nous puissions les voirs. Mes ailes sont à moitié déplumées comme la plupart des autres. Heran, le plus jeune d'entre nous à l'air déjà réveillé depuis longtemps, il veille sur les autres. Ses ailes sont encore intacte et son regard de nacre verte calmement posé sur les alentour. Il est bien à l'image de son père. Des cheveux blanc tombant juste sur ses épaules comme un rideau de plume encadrant son visage au traits fins et à la peau pâle. Ses ailes majestueuse ont des reflet de nacre, sont replier dans son dos sur ses vêtement salis par la chute. La seul touche de couleur vive est le pendentif à son oreille en or et diamants. Terenil à même bannis sont propre fils. Qu'avons nous donc fait? Pendant que les autres sont inconscients ceux qui peuvent tenir debout sont chargé de monté la garde pour les protéger.

Il fait vraiment chaud, le soleil doit être haut dans le ciel, tout le monde à repris connaissance, nos plumes sont gorger d'eau, nos ailes sont devenu inutiles et pire encore: nos pouvoir ne fonctionne plus. Heran à explorer quelque peu les environs. C'est une jungle immense, des milliers de fois plus grandes que le dôme de verdure, un véritable océans de plantes et d'arbre. Il nous dit cependant que l'ont à rien craindre, la plupart des créature présente sont inoffensive. Le groupe rassuré, les tâche sont à présent distribuer. Les autres sous-division du groupe doivent trouver du bois sec pour faire du feux, et de quoi fabriquer un ou des abris, notre sous-division sous le commandement d'Heran est charger de trouver ce qui est comestible ou non pour survivre dans cette jungle suffisamment longtemps pour espérer pouvoir en sortir un jour. Quand il commencera à faire plus sombres nous nous retrouverons tous ici. Nous avons donc suivit Heran. Certains des arbres autour de nous portaient des fruits au couleurs et aux formes étranges, parfois très haut dans les arbres, parfois au ras du sol ou même a l'intérieur. J'avais espoir d'être tomber dans le dôme de verdure mais de toute évidence, ici, rien n'est similaire ou semblable. Pas même une graine d'ambroisie ou une feuille d'arcana. Comment savoir sans nos pouvoir lesquels sont comestibles ici.

- Il suffi de gouter. Nous annonça Heran devant l'incompréhension des autres. Il était inconscient! C'était presque du Suicide!

- Je vais le faire, tout cela est de ma faute après tout

Chroniques des terres de Saeri
L'entre-monde

Il existe cependant
Au-delà de ces terres en tourment
Entre les morts et les vivants
Les portes du néant.

Dans cet endroit maudit
Si loin des terres de Saeri
Résonnent les crie
De leur gardien au cœur meurtris

Royaume d'entre-morts
Ou je ne sait quoi encore
Même le gardien pleure toute les larmes de son corps
D'être ici prisonnier sans aucun tord.

Gardien Spectral
De son regard de nacre pâle
Et sa chevelure d'Opale
Une pierre lumineuse perdant sa source vital

Car le gardien à le cœur brisé
Depuis qu'il du faire traversé
L'âme de sa tendre aimé
Et dans l'entre-monde, son corps gardé

Chaque jour le gardien pleure de sa malchance
Mais assume sa tâche avec vaillance
Acceptant cette sentence
Comme il accepterait une danse

Chaque jour le gardien doit voir
Le squelette de sa dulcinée vêtu de velours noir
Son roi le lui a voler pour son manoir
Le gardien n'as plus de raison de croire

Dans cet endroit ou même le gardien se meurt
Il n'y aura pas de leurre
Dés que sonne l'heure
Même le plus vaillant à peur

Lieu d'errance
Ou tout n'est que souffrance
Le moindre offense
Y erré sera votre sentence

Fan va encore m'engueuler parceque j'ai toujours pas poster mais anciens poême x) en attendant j'ai scanner quelques dessins plutot réçents qui pour le plupart sont des testes qui ont bien donner je trouvais.

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Celle la c'est ma plus rescente et donc la plus detailler que j'ai continuer par petite periode en 3 jours.

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Moin rescente et le premier vraiment detailler j'y est mis 3 heure un soir ou je m'ennuyais

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fait rapidement dans un test de mouvement.

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test d'un nouveau style sans ligne de construction

Ayuki en plus féminine

Un delire en maths

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Mon delire sur le brouillon du bac français

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test de deux persos et de profils

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teste de vêtement style vocaloid

Voila les commandes, serieusement je suis dessus pour les katsu, taka, et tatsuha après reflection je les est un peu loupé tan pi je recommencerais, j'ai voulu essayer un nouveau style de deformation pour taka mais ça donne moyen la main de tatsuha est totalement louper et katsu fait un peu aliens avec ce bordèle.
Bon après j'ai mes petites fierter pour une fois j'ai reussit les cheveux de tatsuha et de taka et j'adore le pull de katsu, autrement heran a été plus reussit appart les pieds mais bon.

donc voila deja Heran:

Katsu:

Taka:

Et Tatsuha:

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Voila comme promesse a ce chère Hector un taka en...dison difficulté x)

Aller et comme je me remet a écrire et que je travail sur mon poême pour Ciel dans le projet avec fan pour faire patienter j'en case un de Taka

*-°-*Si jamais je pleure*-°-*

Si jamais je pleure
On m'as déjà prévenu
je sait que tout sera perdu
même si tout se meurt

Si jamais je pleure
Si je ne crois en Dieu moins qu'au dire de la lune
La vérité est mon infortune
alors sonnera ainsi l'heure

Si jamais pleure
même dans les bras des pires
alors que la douleur est encore a venir
Ce n'est pas un leurre

Si jamais je pleure
Mais amour je me meure
Suis-je maudit?
Maudit par la douleur qui me rendis impie

Si jamais je pleure
ce n'est jamais que de ce malheurs
qui me porta impuissant
face a mon destin indécent

Invité

Petits poême temps pendant que j'avais le temps

*-°-*La mort de Peter Pan*-°-*

Des accords dissonants
Sur un ton lacinant
Fonts trembler doucement,
Un bois couvert de sang.

Ce puissant rire,
Ses traits s'étirent,
Déformés par le plaisir,
De voir cet être mourrire.

Son pied heurte violament,
Le corp d'un pantin balant,
dont le bois écorché blanc,
Perd sa sève d'un pourpre éclatant.

Pauvre enfant,
Tu ne sera jamais grand.
Jeune Peter Pan,
Crochet t'as volé ton vivant.

Dors mon petit,
Dans les bras qu'Hadès t'ouvris.
Dans ce paradis ou tu finis,
Près du fleuve des larmes de ta Wendy.

Troisieme étoile et tout droit jusqu'au matin.
jouer contre un être malsain,
Ne laisse qu'un seul destin.
Peter, tu t'es pourtant battu jusqu'à la fin.

Ces accords lancinant,
Tranchent encore le coeur des enfants,
Comme le fut le tien Peter Pan.
Le rire de Crochet tue l'innocent.

*-°-*Torture*-°-*

Dans ta geolle, tendremet enchainé.
Tes beaux yeux percés,
Sous le tissu ensanglanté.
Nous n'avons pas fini de jouer.

Ton corp trempé de sueur,
Et le souffle sacadé par la peur.
Couche toi, c'est l'heure,
Debute cette douce douleur.

Laisse ton corp valsé tout contre la lame.
Le jeux est un drame.
Tes joues se couvrent de larmes.
Tes cries comme une alarme.

Crie autant que tu le desir.
Amplifie ce plaisir.
Tu ne doit pas encore mourrire.
Tu aurais dû t'enfuir.

Pris entre les crocs d'un démon.
La souffrance sans compassion.
La torture comme passion.
En voila la démonstration.

Ne te demande pas pourquoi.
Il n'y a que toi et moi.
Malheureux aventuré sous mon toit.
Qui crois encore en l'émoi.

Ton sang fuis.
Ton corps gît.
Mais tu reste en vie.
Souffre sans répis.

Le jeux est presque terminé.
Je n'est plus de sang à te voler.
Ne reste que ton âme à dévorer.
Adieu être condamné

une petite chanson pour faire patienter le temps que je rassemble mes vieux poêmes.
Child's play - Hatsuki Yura
Child_s play solo - Akira-sama.mp3 - 1.65MB

des petits dessins pour patienter

Invité

Et un petit dessin que je travaillait depuis un moment

Et un nouveau dessin fait depuis longtemps mais j'avais pas pris en photo.

Invité

j'pref mon cadeau d'annif :p

lol bah tan mieu

Invité

Et voici le moment que Fan me réclame depuis des lustres. En effet j'ai enfin retrouver mes vieux poême que j'avais posté il y a maintenant un ans sur la galerie de Delire Kuroshitsuji avant de me refugié sur ce petit ilot de nawak qu'est notre superbe Delireland.
Et on commence avec le poême qui nous a donné l'idée a fan et moi de réalisé le projet Aki-fan

Le pacte

Il était une fois, comme toute histoire,
Un enfant plongé dans le désespoir.
Comme seule échapatoire,
Il n'eu qu'une lueur d'espoir:
Un démon entièrement vétu de noir.

Pactiser avec un démon,
eaucoup le répèterons,
Il faut bien que le monde ne tourne pas rond,
Pour pousser un être àl'estimer bon.

Car elle est bien là la triste vérité:
Le sacrifice d'une âme,
Pour un peu de tranquilité.
Subire un drame,
Pour vouloir à tout prix se venger.

Espèrer obtenir égalité est bien sot.
Les démons savent trouver les mots,
Afin d'obtenir ce que réclament leurs maux,
Laissant à leur pactisant, les vautours comme seul cadeau.

Cet enfant, qui par deux fois pactisera,
Par deux fois se maudira,
Par deux fois se condamnera,
Pour deux démon son âme il partagera.
Je serai celui qui le dévorera.

Le second, qui n'est pas dans l'ordre chronologique, vu que j'ai un tas de feuille en face de moi et que je les recopie comme elles viennent, n'as pas été publier et il s'agit d'une des partie d'un projet que je fait de mon coté. Les chronique des terres de Saeri tout en vers.

Chronique des terres de Saeri
Tombe le soir

Tombe le soir
Mais dans le noir
Traine désèspoir.
Les ombres preinent le pouvoir.

Dorment tremblant de peur, les humains
De mon royaume malsain.
Il seront reveillés, c'est certain,
Par le baisé des ténèbres carmins.

Ceux qui ose me défier,
Dans le sang sont chatiés.
A peine le plan donné,
Impossible de l'appliquer.

La moindre révolte,
Enverra son meneur
Dans de sombres profondeurs.
Qui sème le vent, tempête récolte.

Ma colère est ouragan.
Gard à celui qui ne se soumet.
Sous mon règne l'âme est un met
Délicieux bien que douloureux pour les vivants.

Les sombres nuits
Des terres de Saeri,
Inspirent terreur
Qui ne se meurt.

Puisque l'éternel
Reine immortel
Veille sur leur sommeil
De son regard vermeil.

Tombe le soir
sur mon territoir.
Le liquide pourpre des ciboirs
N'est que du sang pour s'abreuvoir.

Jamais ne tremble nos mains,
Si ce n'est pour attendre demain,
Avec l'impatiance de nos devins,
Lorsqu'il s'agit de déchiffrer de sombres destins.

De la nuit il faut se méfier,
Si un jour vous desirez
aux terres de Saeri vous aventurez.
Bien plus que la vie vous perdriez.

Troisieme et déjà publié auparavent j'avais alors pretez ma plume à Fumio.

La marche du temps

C'est ainsi qu'ils marchaient vers le Néant,
Et moi qui ne connait pas le temps,
Je ne sû à quel point difficil était leur présent,
A quel point ils étaient souffrants.

Vous deux, anges ailes déchirées.
Meurtris par votre passé.
Par votre futur hanté.
Détruit à l'acide remplissant votre sablier.

Vous deux, enfants maudit.
Que l'agonie,
au plus profond détruit.
Comdamnés à une souffrance infinie.

Moi que le temps n'atteind pas.
Je ne sait si cela cessera.
Je ne peu que suivre vos pas,
Sans véritablement être la.

Suceurs de sang, dévoreurs d'âme.
Tout vous comdamne.
Mes crics comme une lame.
Les démons, votre drame.

Moi qui ne connait le temps,
qui ne répondait qu'à l'appel de sang.
Ce liquide pourpre que je convoitait tant.
Si seulement, le votre je pouvais sauver à temps.

Encore un qui n'as pas été publié et qui m'as donné envie d'écrire les chroniques de Saeri.

Ere du Chaos

Alimenté de guerres sans fins,
Qui ne calmerons pourtant jamais sa faim,
Qu'agacent vos paix sans lendemains,
Puisque vous lui résistez en vain.

Désastre, Massacre.
Le sang s'en sâcre
Au gout de poussière âcre.

Par le vent porté.
Par la destruction volé,
Sous le sabot des cavaliers
Et les bottes des archers.

Le vent du chaos,
Annoncé par un vol de corbeau.
Le devin victime des eaux,
N'as pu déchiffrer ces signaux.

Humains fragiles de chaire.
Enfants maudits de la terre.
Victime de Flamel et sa pierre.

Tenter de résister est inutile.
Face à la vérité qui vous mutile.
Combattre est inutile.
Espèrer reste futile.

Face au vol de vautours
Qu'est ce mauvais tour.
La mort vous attend au détour.

Ne vous attend que la mort
Où sera votre seul remord.
Votre ressistance vous donna
Le chaos qui vous devorera.

Je ne sait plus si j'avais publié celui la. Il me semble que non mais il est a l'origine de la naissances des tréfond dans le RP et par extension d'Odin même si il n'est pas compris dans le poême.

Chronique des terres de Saeri
Tréfond

La ou règnent des ombres fictives.
Le coeur entouré de charbon.
Du plus profond des tréfons,
Je suis native.

Reine, au désespoir
Des vivants de Saeri
Que j'ai ainsi maudit
Bien plus loin qu'au delà de leur mémoir.

Là d'où je vien,
Des tréfond sombre,
Au royaume des ombres,
Cette malédiction n'est rien.

On y vit sans lueur
Dans des ténèbre parfait.
Sous un soleil noir de jaie,
Le mal jamais ne meurt.

du plus profond des tréfons
Je règne sans relève.
Car tel un mauvais rêve,
Agissent, comme moi, les démons.

Car là ou règnent mes ombres fictives,
Le coeur de pierre,
Je les renvois à la terre.
Des tréfonds je suis native.

Deux poême que j'avait publiquer car j'en était plutot fière pour la suite. Et Flame n'est pas DU TOUT inspiré de Fullmetal alchemist pour ceux qui voudrait savoir.

Flamel

Je presiste à l'immondice.
enfant du vice
Que les lumière me haïssent
Ainsi sera mon supplice.

La pierre d'éternel
De Nicolas Flamel.
Tout aussi belle
Que danger soit-elle.

Une éternité éphémère,
Qui ne tien vivante que la chaire.
De la folie la mère,
Ainsi soi cette maudite pierre.

Je persiste à l'immondice.
Enfant du supplice
Tel soi mon némésis
A chercher cet indice.

A son époque charlatant.
Flamel trouva le pierre de sang,
Rubis philosophal qui défie le temps,
Pour garder jeunesse éternellement.

Précieux convoité
qui donnait l'immortalité.
ainsi soi ma destiné
Par la découverte de Flamel emporté.

Je persiste à trouver cet indice.
Enfant de l'immondice
Ne me pardonne jamais le vide
M'emporta ce supplice.

Pour une simple pierre
Abandonner sa terre.
Pour une vérité menssongère
Corrompre l'ether.

Je suis la victime éternel
Du dangereux rubis de Flamel.

Chasse draconienne

Si vous le pouvez fuyez.
Si vous pouvez m'échapper.
Vous mettre hors d'atteintes des mes flammes dorées
Et des mes crocs assèrés.

Mais tout est déjà fini.
Ma présence vous maudit.
La votre aiguise mon appetit.
Pour vous tout est fini.

Courrez pauvres fous.
Avant que je ne vous broie le cou.
Il est trop tard et je ne serait pas doux.
Comme pour ceux qui provoque mon courroux.

On ne reveil pas le dragon qui dors
Sans subire ses tortures couleur d'or.
Ete-vous déjà morts?
Moi je veux jouer encore.

Donnez moi votre corp
Que je le dévore,
Que vos os sortent en dehor.
Laissez moi jouer encore.

Ne mourrez pas si tôt
Que je vous brise le dos.
Attendez plutôt
Que j'en est fini avec nos os.

Je ne suis pas une simple créature.
Lon corp à moi perdur.
Mes ecailles sont dures,
Me protègent des morcures.

Je suis un dragon.
Pas un démon.
Mais mes griffes vous emmenerons
Dans des enfers sans fond.

Et je reprend mon petit recopiage avec mon premier poême un peu bizard.

Souffle Divin

Ange et démons, Paradis et Enfers.
Parallèle à la même terre.
Chemins similaires.
Voix du mal ou du bien.

La mort ou la vie.
La torture ou le répis.
Comme une limite à l'infini.
Et la renaissance d'agonie.

Volonté des dieux
Ou destin plus vieux.
Et le simple voeux
D'un être trop envieu.

C'est le souffle divin
Que chercha un devin
Et qui, dans un lac carmin,
Fut noyé en vain.

Dans ce lac de sang,
Ecoulé du corp des plus vaillants
Et des plus mauvais perdants,
Il rencontra un enfant.

"Toi que conduisi ici la fortune,
Qui crois aux dire de la lune
Bien plus que l'histoire de nos dunes,
Sache la vérité n'est pas une."

"Mais qui es-tu?
Un mirage dans cet ecarlate ou je suis perdu?"
Mais sans réclamer son dû
Dans les ténèbre pourpre il disparut.

Le devin ne manquais pas d'ouvertur d'esprit,
Mais son humanité il oublie.
L'homme ne respire pas ici.
L'homme dans l'eau ou le sang n'as pas de vie.

Il dû succomber
Aux portes de la vérité
Comme tout ceux qui l'ont précédé.
A vouloir savoirn il a oublié.

C'est le souffle divin
De la gloire sans lendemains.
Ignorant matin
D'une triste histoire qui prend fin.

Le soleil de minuit.
La mort et la vie.
Le temps et l'infini.
Immortel meurtri.

Nuit et jour.
La colombe et le vautour.
Phoenix sans atours.
Et le directe détour.

L'infini et le temps.
Lier d'eau et de sang.
Sans cesser ses serments
Le souffle divin s'étend.

Et le petit dernier qui était le poême de Katsu pour alois que j'avais peaumer ouais! \o/ Le voila donc.

Alois (II je precise)

Si la mort m'a volé mon enfance
En revenir m'a donné une chance.
Des sentiments qui frôle l'indescence.
Mon coeur emporté dans ta dance.

Si je dois accepter ta souffrance
tu pourra m'accorder confiance.
Mon coeur balance
au ritme de ta dance.

Si tes yeux bleus
Par les larmes deviennent brumeux
Ne fait plus attention à eux.
Laisse moi te rendre heureux.

Si ton sourrire
Fait de loin luire
Ces etinclesses, flammes en devenir
Empechant à jamais mon amour de se ternir.

Si je suis de cette race haïs
Je suis différent de ces infamies.
Toi qui m'as rendu la vie.
Toi qui m'emporta vers l'infini.

Encore Alois (II)
Si mes yeux me trahissent
Je suis pas sans vices.
Ma colère est pour ceux qui te haissent.

Si je ne suis pas doué avec les mots.
Si je ne peu soigner tes maux.
Je ne serait présent pour te protèger.
Je serait présent pour t'aimer.

Invité

j'y travaille, le truc c'est que j'ai perdu mon premier chapitre quand j'ai changer d'ordi du coup je doit le recommencer et je n'en est pas encore trouver l'inspiration

d'ailleur pour notre projet j'attend avec impatience ta suite